Depuis quelques années, le nom de Ty Segall s’est imposé pour affirmer une nouvelle génération de rockeurs: ceux qui n’ont pas été repérés et signés en major, ceux qui tournent 200 jours par an, ceux qui restent fidèles à leurs racines, ceux qui sortent un disque dès que l’inspiration les touche.
Ty Segall, un an à peine après « Sleeper » , revient avec 17 nouveaux titres et un « Manipulator » qui sonne comme l’album de la consécration. On retrouve tous les éléments qui font le style de Ty. Des touches acoustiques, un groove à la stooges, un songwriting digne de Neil Young, Une noirceur digne de Black Sabbath et le garage blues des Stones. Mais l’écriture de Ty se fait plus lumineuse et universelle et il a su intégrer quelques amis au mix ; Chris Woodhouse (piano, synth & percussions), Sean Paul Presley (chant), Brit Lauren Manor (chant), Steve Nutting (batterie), Irene Salzer (violon), Jessica Ivry (violoncelle), Matthias McEntire (contrebasse) et les membres du Ty Segall Band (Mike Cronin, Charles Mootheart, Emily Rose Epstein).
TY SEGALL
album : Manipulator