Ce joyau brut lui ressemble finalement plus que ses deux prédécesseurs. Après Time (2007, Project Recordings) et Erotis (2009, Lucien Entertainment), Jérôme Caron, alias Blackjoy, crée Joie Noire pour son retour à une électro minimale, envoûtante et entêtante. Une musique de songe, pour rêver éveillé. Un voyage immobile aux confins d’un système conçu jadis par les architectes Can et Weather Report, et développé par Carl Craig et Plastikman. Pour ne citer qu’eux… Au jeu des influences, Jérôme Caron cite également la musique Indienne (Kup Kup), les B.O. de films de S.F. et évoque le générique de l’émission « Droit de Réponse » et tous ceux, qui, au début des années 80, ont marqué son enfance de leurs arpeggios.
This gem looks like him more than his two predecessors. After Time (2007, Project Recordings), and Erotis (2009, Lucien Entertainment), Jerome Caron, aka Blackjoy, creates Joie Noire to return to a minimal electro, haunting and mesmerizing. A dreamy music, to dream awake. A motionless journey in the confines of a system created a long time ago by architects Can and Weather Report, and developed by Carl Craig and Plastikman. To name a few… At the game of influences, Jerome Caron also named indian music (Kup Kup), soundtracks of SF, and discussed the generic issue of « Droit de Réponseé and all those who, early 80’s, marked his childhood from their arpeggios.